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Un web-documentaire de Carine Jaquet & Mikaël Ferloni

Produit par MkF éditions

  • Chef-opérateur et réalisation des pastilles vidéos :

    Alice Desplats, assistée de Rodolphe Chauvin

  • Montage :

    Alice Desplats, Mikaël Ferloni

  • Création graphique, webdesign & integration :

    Nils Brière

  • Logo et One Myanmar font :

    Claire Mauchin

  • Montage additionnel :

    Vanessa Giangrande

  • Jingle :

    Maxime Bigot

  • Musique de générique :

    Geoffroy Houssin

  • Traduction et sous-titrage anglais :

    Pauline Plancq

  • Traduction et sous-titrage birman :

    Min Taw

  • Photographies additionelles :

    Rodolphe Chauvin, Michelangelo PignaniHtet Maung Oo

Nos remerciements vont à Ko Aung Soe Min, Ko Nyantha, Ma Mikun Cha Non, Ko Kyaw Thu, Ma May Sabe Phyu, Ko Htet Oo Maung, Ma Thin Thin Aung, Ko Zwe, Ko Sai Ye Kyaw Swar Myint et Ko Myat Thu pour leur participation à ce projet.

Un immense merci à Saya Renaud, pour ses relectures attentives et pour le partage de son savoir de Myitkyina, à Naypyitaw en passant par Sanchaung, de préférence au Gin O’clock ; Maël et Romain pour leur enthousiasme et leurs commentaires éclairés ; à Michel Baumgartner pour ses rigoureuses corrections orthographiques et stylistiques, souvent nécessaires quand on tape sur un clavier QWERTY ; Thus pour son soutien, sa patience et son humour épicé ! ; Pyae sone pour sa bonne humeur et son aide en dehors des horaires de bureau ; Jessica et Max pour leur chaleureuse hospitalité ; et enfin aux amis qui ont cru, suivi et contribué à l’aventure One Myanmar !

Merci également à l'Ambassade de France en Birmanie, via son fonds de soutien aux élections « Bringing People Together », au Secours Catholique et à Sathi Om, qui nous ont soutenus depuis le début de cette aventure.

Avertissement :
Les propos tenus par les interviewés dans ce documentaire ne représentent que l’opinion de leurs auteurs et n’engagent pas les réalisateurs du documentaire.




Contactez-nous : contact@mkfeditions.com








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OUVERTURE ÉCONOMIQUE

Depuis 2011, l’ouverture économique du Myanmar s’accélère avec la mise en œuvre de nombreuses réformes.

Les sanctions financières et économiques européennes, américaines et australiennes, récemment levées, ne doivent pas faire oublier que le pays n’était pas pour autant hermétiquement refermé sur lui-même sous la junte militaire. Ses partenaires économiques principaux – asiatiques - ont maintenu des relations commerciales étroites en échangeant essentiellement des biens de consommation contre des produits agricoles et des matières premières.
Le pays reste très peu industrialisé et 70% de la population vit en zone rurale. Les indicateurs de développement économique montrent d’importantes disparités. L’électricité demeure un luxe rare et le manque d'infrastructures, une contrainte majeure au développement.
Cependant la privatisation partielle de l’économie aiguise l'appétit des investisseurs étrangers, tant pour l'ouverture de nouveaux marchés que pour l’accès potentiel à de nombreuses richesses naturelles. Cette mutation économique est surtout visible en ville. Mais le développement économique bénéficie-t-il à tout le monde ?

Depuis 2011, l’ouverture économique du Myanmar s’accélère avec la mise en œuvre de nombreuses réformes. Les sanctions financières et économiques européennes, américaines et australiennes, récemment levées, ne doivent pas faire oublier que le pays n’était pas pour autant hermétiquement refermé sur lui-même sous la junte militaire. Ses partenaires économiques principaux – asiatiques - ont maintenu des relations commerciales étroites en échangeant essentiellement des biens de consommation contre des produits agricoles et des matières premières. Le pays reste très peu industrialisé et 70% de la population vit en zone rurale. Les indicateurs de développement économique montrent d’importantes disparités. L’électricité demeure un luxe rare et le manque d'infrastructures, une contrainte majeure au développement. Cependant la privatisation partielle de l’économie aiguise l'appétit des investisseurs étrangers, tant pour l'ouverture de nouveaux marchés que pour l’accès potentiel à de nombreuses richesses naturelles. Cette mutation économique est surtout visible en ville. Mais le développement économique bénéficie-t-il à tout le monde ?

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aller plus loin

Cartes postales animées
  • • Au marché
  • • Un train pour Yangon
  • • les petits métiers



Aller plus loin

  • Turnell sean, Fiery dragons, banks, moneylenders and micro finance in Burma, NIAS Press, Cophenagen, 2009, 389p.

    Comment le pays le plus riche d’Asie du Sud-Est à l’aube du XXe siècle est-il devenu le pays le plus pauvre à l’aube du XXIe siècle? La réponse se trouve dans le système monétaire et financier birman, et son rôle dans l’histoire économique torturée du pays.

  • Bissinger, Jared, “Myanmar’s Economic Institutions in Transition,” Journal of Southeast Asian Economies, Vol. 31, No. 2, 2014: 241-255.

    L’amélioration du secteur privé a été un des buts majeurs des réformes économiques birmanes. Mais les institutions économiques formelles et informelles qui gouvernent les échanges et encadrent le secteur des affaires ont changé de façon significative pendant un demi-siècle de gouvernement socialiste et militaire. Les dirigeants socialistes ont éliminé nombre des institutions qui étaient devenues inutiles puisque l’activité économique devait être planifiée par l’État. Dans ce contexte, l’échange personnel est devenu dominant, et le contrôle de l’économie répandu. Le gouvernement militaire a ravivé l’échange de marché, mais beaucoup d’institutions de l’ère socialiste survivent et continuent à entraver le secteur privé.

  • International Monetary Fund, Annual report: Myanmar’s Growth Momentum Strong, but Maintaining Stability Is Key

    La croissance économique demeure rapide au Myanmar, mais des signes de surchauffes sont apparus en raison du nombre limité de fournisseurs et des conditions financières déficientes selon le FMI dans son rapport annuel sur l'une des économies à la croissance la plus rapide au monde.